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DOSSIER EUTHANASIE |
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CONFÉRENCE
POUR MA FILLE CORALIE
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L'histoire de Coralie publiée dans le magazine 100% Vrai ! du 15.9.2012 |
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Bonjour. Je m’appelle Silviane Le Menn, j’habite QUIMPER (Finistère), je suis en retraite
et accessoirement poétesse, écrivain, webmaster et parapsychologue-conseil.
Début mars 2008, en découvrant à la télévision le visage défiguré et douloureux de Chantal Sébire, le souvenir traumatisant du visage de ma fille unique Coralie Fehlen Le Menn
a été vivement réactivé dans ma mémoire et dans la mémoire des personnes qui l’ont aimée, rencontrée ou soignée.
Très sensibilisée par le rejet de la demande d’euthanasie et l’autopsie de Chantal Sébire,
dès le mois de mars, alors que j'étais en soins aux thermes d'Eugénie-Les-Bains (Landes),
j’ai exprimé sur Internet et à mon entourage, ma volonté de témoigner publiquement au sujet
de l’euthanasie « ratée » dont ma fille Coralie, atteinte d’un ostéosarcome maxillo-facial rare
et incurable, est décédée à l’âge de 20 ans au terme de 2 ans ½ de maladie.
Après avoir publié 18 commentaires explicites sur le site Internet de FRANCE SOIR,
dès mon retour de cure thermale, j’ai créé un « Dossier euthanasie » sur mon propre site www.abadennou.fr où j'ai publié les détails de la longue et douloureuse maladie de Coralie.
Contactée par Paul PIERRA (Moi, Hervé PIERRA, ayant mis 6 jours à mourir) j’ai rejoint l’ADMD (Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité) parce que, comme Chantal, Coralie n’a pas
eu la « chance » (!) de quitter ce bas-monde en douceur.
Le drame de l’euthanasie, je l'ai donc vécu car Coralie est décédée par euthanasie "sauvage"
le 9 septembre 1993, atteinte d'une forme de cancer similaire au cancer de Chantal Sébire.
Le pire du pire, c'est que l'euthanasie a été "ratée", le médecin n'ayant pas les "bons produits". Comme elle ne "mourait pas", en désespoir de cause, il a été obligé de "l'achever"
en l'étranglant de ses propres mains ! Son sang a giclé partout et sur les murs !
Cela fait donc 16 ans déjà que Coralie a fini de souffrir, qu'on l'a aidée à partir... euthanasie clandestine, illégale, à la maison... Rater sa vie, c'est beaucoup à 20 ans,
mais rater sa mort, c'est TROP !
Il y a un temps pour tout : un temps pour se taire et un temps pour parler, pour écrire !
L'euthanasie illégale de Coralie est restée un non-dit, un silence, un secret très lourd
à porter pendant 14 ans ½. Ainsi, en plus de l’horreur de cette maladie grave du visage,
en plus du chagrin, du deuil, la vérité sur les causes exactes du décès n’a jamais pu être exprimée, verbalisée. C’est une épine empoisonnée dans le cœur !
Je suis "fatiguée" de me taire parce que les bien-pensants, les nantis, les religions ou
ceux qui ne se sentent pas concernés s’octroient le droit de juger du bien-fondé ou non
de l’euthanasie, au mépris de la plus élémentaire compassion ! Il est temps que ça change !
Il est temps pour moi d’avouer, de parler, de témoigner !
Après avoir publié 18 commentaires explicites sur le site Internet de FRANCE SOIR, j’ai créé
un « Dossier euthanasie » sur mon propre site www.abadennou.fr où je publie les détails
de la longue et douloureuse maladie de Coralie.
Pour les personnes compatissantes qui ont le cœur bien accroché, pour les thérapeutes,
les étudiants en médecine, les politiques, les religieux, etc… un lien permet d’accéder
aux PHOTOS bouleversantes de Coralie prises notamment par un Interne du service
du renommé Professeur David KAYAT, à l'Hôpital de la Salpétrière à PARIS !
Je précise que Coralie y avait subi (en dernier ressort) un traitement chimiothérapique expérimental qui n'a servi à rien d'autre qu'à la faire souffrir davantage ! Je publie également dans mon « dossier euthanasie » les photos de Coralie sur son lit de mort après l’euthanasie
et on peut observer les marques de strangulation !
Vous verrez ainsi à quoi peut ressembler un malade incurable en fin de vie qui demande une assistance à mourir dans sa propre maison, dans son lit, dans la dignité, la paix et l'amour, entouré des siens et qui refuse de mourir seul, en soins intensifs ou palliatifs, si performants soient-ils ! Les médecins ne sont pas des "dieux", ni des mages, ils n’ont malheureusement pas de baguette magique !
Au fur et à mesure du développement de la tumeur osseuse chimiorésistante incurable, Coralie, ne pouvait plus mâcher ni manger, elle n’avait plus de nez digne de ce nom, n’avait plus de dents visibles, plus de bouche, son visage était ravagé, déformé, les hémorragies étaient fréquentes ainsi que les écoulements sanguinolents, les douleurs étaient quasi permanentes,
la tumeur envahissait la face, on ne voyait plus ses beaux yeux bleus et elle devint aveugle !
Lors de la consultation dans le service de chirurgie maxillo-faciale au CHU de NANTES,
le médecin-chef, très mal à l'aise, nous a répété :
- C'est une intervention très lourde qui ne peut être réalisée qu'à PARIS
Mais, concernant les interventions chirurgicales qui avaient été proposées
à l’Institut Gustave Roussy de VILLEJUIF, c’était perdu d’avance !
Je n’oublie pas les « têtes d’enterrement » des chirurgiens et de la dizaine d’internes qui nous expliquaient debout, la multitude d’interventions très lourdes qui seraient nécessaires, notamment pour la reconstruction de la face : nez, bouche, palais, mâchoires, dents, orbites, etc....
Les médecins hospitaliers et les internes se tenaient à une distance respectable, comme si Coralie et moi avions eu la lèpre. Cette attitude rigide trahissait seulement leur grande émotion, leur effroi, leur peur panique et les limites de la médecine.
Coralie a donc refusé de servir de « cobaye » à la chirurgie maxillo-faciale
et j’étais en accord avec le choix logique de ma fille.
Les divers protocoles de chimiothérapie, pratiqués en « désespoir de cause »
par le Docteur Pierre FUMOLEAU, oncologue, Centre René Gauducheau, NANTES
par le Professeur Claude JASMIN, cancérologue, Hôpital Paul Brousse, VILLEJUIF
et par le Professeur David KAYAT, cancérologue, Hôpital de la Salpêtrière, PARIS
lui ont occasionné des souffrances inutiles et supplémentaires et lui avaient fait perdre ses longs
et beaux cheveux clairs… Impossible aussi de soigner Coralie par radiothérapie à cause de la localisation rare de la tumeur osseuse à la mandibule !
En juillet 1993, le professeur Dominique BELPOMME, cancérologue venu tout spécialement de PARIS, en avion, après avoir examiné attentivement le visage monstrueux de Coralie, proposa de tenter un nouveau protocole expérimental chimiothérapique
tout en avouant qu'il ne pouvait rien promettre car il était TROP TARD !
En août 1993, très affaiblie, Coralie indiqua clairement qu’elle ne voulait plus aller
à l’hôpital, qu’elle ne voulait pas mourir à l’hôpital : elle voulait mourir dans son lit,
dans sa chambre, chez elle, dans sa maison…
Les médecins, les infirmières, n'avaient jamais vu un tel cas et, même dans les hôpitaux, j'en ai vu qui devaient s'y reprendre à 3 fois avant de réussir à entrer dans la chambre
de Coralie ! Soigné ou non, ce type de cancer évolue généralement en 4, 6 ou 8 mois en cancer foudroyant des poumons ! Or, Coralie n'a jamais eu aucune métastase !
Si Coralie n'avait pas été euthanasiée, elle aurait donc pu vivre encore quelque temps,
mais dans quelles souffrances malgré la MORPHINE ?
Depuis plusieurs mois, Coralie ne pouvait plus qu’absorber du liquide à la paille et encore... Coralie était, par conséquent, de plus en plus maigre, complètement aveugle, fatiguée de tenir sa tête devenue très lourde à cause du poids important de la tumeur osseuse qui avait presque envahi toute la face, incapable de marcher à cause de la fonte musculaire et la faiblesse extrême !
Coralie est "partie" le 9 septembre et dès le mois de juillet, j'avais abordé avec elle ces questions essentielles : son décès, le suicide assisté, ses obsèques, la crémation.
Nous avons eu des échanges très approfondis.
En septembre, c'est donc elle-même qui a demandé de "partir" et le médecin appelé à son chevet a dialogué avec elle durant des heures... Quand la décision a été prise d'un commun accord, Coralie a téléphoné aux membres de sa famille et à ses amis pour dire "Au-revoir, je vous aime, demain je ne serai plus là" !
Ensuite, on a procédé calmement à sa toilette et Coralie a demandé que l'on prenne des photos artistiques de ses jambes, pieds et main, son visage étant trop gravement atteint et devenu monstrueux. Coralie était devenue aveugle mais elle organisé sa propre mise en scène pour ses dernières photos que l'on peut voir sur sa page Internet.
Enfin, elle a demandé de "partir" en musique.Tout cela a duré une après-midi et une nuit entière.
Coralie nous a parlé longtemps, elle était consciente et lucide malgré sa somnolence !
Coralie répétait : - Attendre ? Attendre quoi ?
Elle ne voulait plus "attendre"... attendre… souffrir physiquement et psychiquement, chaque jour, chaque nuit (malgré les médicaments)... attendre... souffrir... faire souffrir... pleurer... attendre que la mort vienne ? ...seule et unique perspective !!!
Dans certaines pathologies, malgré l'espoir, la volonté, les soins, les hôpitaux, les médecines douces, la foi, les miracles n'existent pas ! Les scientifiques, les médecins, les infirmières et les personnels soignants le savent bien et en souffrent aussi.
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PERSONNE n’a pu guérir Coralie !
Ni la pensée positive, ni l'amour des siens, ni sa volonté de vivre,
ni les dentistes, ni les médecins, ni les spécialistes, ni les professeurs des hôpitaux, ni les magnétiseurs, ni les homéopathes, les naturopathes,
- ni le traitement Beljanski (qui a vraisemblablement permis que Coralie vive si longtemps, sans métastases et qui a été l'un des traitements de François Mitterand),
- ni DIEU, ni Jésus, ni Marie-Joseph-Pierre-Paul-Jacques, ni le curé de NANTES, désenvoûteur officiel du diocèse, chargé par l'évêque de procéder aux "désenvoûtements" pour « chasser le DIABLE et la maladie » au nom de DIEU.
(Dieu et le diable n'existent pas ! Ma certitude intime !)
PERSONNE n'a pu guérir Coralie...
Invitées par feu Anne Margrit Philipps, l'une des descendantes de la Maison de Habsbourg,
nous sommes allées jusqu'à LONDRES, dans le quartier de IBM Building à South Bank, sur la rive sud de la Tamise, pour y consulter un guérisseur, pratiquant un rituel au moyen d'instruments tranchants, une sorte de " chirurgien aux mains nues philippin". Je me souviens que la décoration de son appartement était très spéciale, tout était peint ou tapissé en doré, couleur " or"... Hélas, ce ne fut absolument pas concluant d'autant que Coralie était totalement paniquée ! |
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Le pape Benoît XVI a mis en garde contre une « culture de la mort » mettant en danger la vie des plus âgés ! L'argument religieux de la sacralité de la Vie, avancé par les croyants, est l'idée que « Dieu » seul est Maître de la Vie et de la Mort. « Dieu » donne la Vie et est seul habilité
à la reprendre ! Mais comment avoir confiance en un Dieu qui a tellement d'amour pour ses créatures qu'il leur inflige des souffrances inhumaines ?
En vertu de quel dogme Coralie avait-elle l’ obligation de continuer de souffrir « ad vitam aeternam » ? De quel droit un être humain en fin de vie doit-il être condamné
à des souffrances inutiles et supplémentaires ? Double peine ! |
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Coralie n’est pas morte dans la dignité car le médecin et l'infirmière qui avaient pris le risque d’accepter de l’aider illégalement à mourir n’étaient malheureusement pas en possession des "bons produits", pourtant à disposition des vétérinaires !
En France, en 2010, les animaux bénéficieraient-ils de la protection, de l’amour et du respect que l’on refuse à une femme ou un homme en fin de vie, contraints de subir jusqu’au bout la dépendance et la déchéance ???...
Si vous aviez entendu Coralie murmurer, au milieu de la nuit :
– Je vous entends !... C’est dur de mourir, j’essaye mais je n’y arrive pas !
Coralie est donc partie dans l’autre monde violemment, après une insupportable agonie.
S’il avait existé une loi humaine, Coralie serait morte en paix, libérée en douceur… et nous
ne serions pas restés gravement traumatisés !
Mais je ne rendrai jamais le médecin, ni l’infirmière, responsables ! Au contraire, ils ont eu
le courage d’assumer jusqu’au bout puisqu’ils avaient accepté sa demande à leurs risques et périls car, le médecin ou toute autre personne qui répond à la demande expresse d’un(e) malade en fin de vie est coupable d’homicide volontaire dont le délai de prescription est de 10 ans à partir du moment où les faits sont connus !
Nous voulons une loi dépénalisant l'euthanasie et respectant notre ultime liberté : décider en fin de vie, en conscience, d'une mort décente, sereine !
Nous voulons la liberté de choix et avoir la possibilité, le cas échéant, de bénéficier d’une aide active à mourir en toute légalité et en toute transparence !
La vie est un combat ! La mort aussi ! Témoigner pour contribuer à faire voter une
LOI pour une mort décente, non violente, respectueuse, propre et sereine, dans un total respect du malade et de son entourage est désormais mon combat pour vous et moi !
Je continuerai donc à témoigner, quoi qu'il m'en coûte, dès que l'occasion m'en sera donnée, car les malades en fin de vie qui souffrent doivent être soutenus ainsi que leurs familles et
les médecins ou personnels infirmiers qui peuvent être amenés à s’impliquer illégalement !
Si elle veut tenir sa réputation, la FRANCE « Pays des Droits de l’Homme » se doit d'être
à l'avant-garde et non à l'arrière-garde... y compris en ce qui concerne le débat de fond
pour une loi autorisant l'euthanasie active médicalement assistée !
Tous les français doivent prendre conscience que ça n'arrive pas qu'aux autres !
Qui peut juger et décider arbitrairement du droit fondamental de chaque être humain
dans ses choix de vie et de mort ?
Qui sait ce que nous réserve notre avenir, notre fin de vie ?
Soyons humains ! Soyons humanistes !
Je remercie les personnes qui m’encouragent et me soutiennent fidèlement
et affectueusement depuis le mois d’avril 2008. Merci beaucoup de votre attention...
© Silviane Le Menn (18 septembre 2008 mis à jour en 2010) |
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Oraison funèbre
est le poème central de l'ouvrage intitulé
"Dans le droit fil de l'âme"
dédié à Coralie et à toutes les personnes
éprouvées par la mort d'un enfant.
Plusieurs dessins de Coralie y sont publiés
ainsi que quelques dessins de son père, Bernard Fehlen. |
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Maison sans vie, chambre fermée
Vide est le lit, les draps défaits
L'œuf est pourri, l'œuf est fêlé
Lente agonie, a trépassé
Trop grande est la misère
Trop grands les cimetières
Et les chagrins aussi
Poids du silence en permanence
Inexistence et réticences
Sommeil de plomb, prémonitions
Cercueil trop blond, lamentations
Noir, mystère de la vie
Noir, mystère maladie
Et de la mort aussi
Soleil éteint, vingt ans défunts
Rêves, chansons, fin d'illusions
Baiser sa main est surhumain
Défloraison, malédiction
Rouge, feu comme l'enfer
Blanc, froid comme l'hiver
Et dans nos cœurs aussi
Joues altérées, nez ravagé
Yeux sans secours, voix sans discours
Corps calciné, rêves brûlés
Fumée d'amour, trop bref séjour
Gris, cendre dans la mer
Gris, cendre dans la terre
Et sur les fleurs aussi
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La déchéance sans élégance
En vain explore son désaccord
La délivrance est renaissance
L'espoir encore malgré la mort
Clair, esprit de lumière
Claire, âme en l'univers
Et sur la terre aussi
Tu reviendras bientôt ici
Car ici-bas renaît ta vie
De ton trépas aura l'oubli
Hortensias auront fleuri
Bleu, espoir essentiel
Bleu, espoir éternel
Grâce à l'amour aussi
Tu choisiras nouvelle maison
Nouveau karma, incarnation
Fée tu seras, sachant ton nom
Fée jaillira des flots profonds
Beau, mystère de nos vies
Belle, âme qui revit
Vieille âme, Coralie
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Montre-toi ma misère
à leur temple de joie
l’aveuglante lumière
que tu vois là-bas
Montre leur tes plaies
et dis leur
s’il te plait
qu’elles sont sans artifices
Crie ma douleur
crie plus fort que l’amour
réclame le SAUVEUR
qu’on te promet toujours
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Boite bien ma gueuse
montre leur ton visage
montre tes joues creuses
ton cœur en ton corsage
Crie ma déchéance
crie mon corps impur
quémande un peu de chance
quémande un bout d’azur
Silviane Le Menn
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ARTICLES DANS LES MAGAZINES
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2012 |
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Reportage réalisé le 5 avril 2014 par deux journalistes fraîchement émoulues de l'IPJ PARIS DAUPHINE |
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HOMICIDE VOLONTAIRE et INVOLONTAIRE
Comment on vit ensuite ? |
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La diffusion du reportage
est prévue en automne 2014 |
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Le 3 novembre 2008, de 9 h à 10 h
Morgan Descoings a reçu Silviane Le Menn
lors de l'émission de Catherine Kérével
LIGNE D'EXPERTS |
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Étymologie du mot "euthanasie" : du grec, eu, bien, et thanatos, mort. |
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Euthanasie signifie « bonne mort » ou « belle mort ». Dans l'Antiquité, cet adjectif était utilisé pour qualifier une « mort réussie ». L’euthanasie consiste dans le fait de procurer une mort douce, sans souffrance, à des malades qui subissent d’atroces douleurs, atteints d'une maladie incurable ou qui sont en état d'agonie. |
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Selon le dictionnaire Larousse : Doctrine selon laquelle il est licite d’abréger la vie d’un malade incurable pour mettre fin à ses souffrances. |
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Le terme « euthanasie » a gardé une sinistre connotation à cause du prédateur fou Adolf Hitler
et des assassins nazis qui, pour camoufler leurs actes criminels et se justifier, parlaient de
« mesures euthanasiques » ! Ne mélangeons pas tout ! |
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La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance ! |
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Dernière
mise à jour
mardi 30.01.2018 11:00
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