François Mitterrand est un homme « trouble », confus, volontaire et autoritaire. Il aime se
« promener ». Il ne doit pas être vraiment croyant. Il se prendrait d’ailleurs presque lui-même pour
un « dieu ». Il est très imbu de sa personne et s’admire avec complaisance. Il considère les femmes comme inférieures. Il a un côté « roi fainéant ». Il a probablement des problèmes "abdominos" qui
ne sont pas de nature à l’empêcher de rester « debout ». Il ne faut pas spéculer sur sa santé qui est bonne dans l’ensemble.

Je le vois, à un moment donné, à son bureau, il écrit, mais surtout réfléchit beaucoup, soucieux.
Puis, il se lève : il ne sait plus, ni ou aller, ni quoi faire. Il retourne s’asseoir à son bureau et se met
la tête dans les mains. C’est un très grand bureau où il se trouve « seul ». Puis, il va à la fenêtre :
il y a là une foule massée qui crie. La foule est très « virulente » et l’excitation extrême. C’est une sorte de « révolution ». Il y a des gens très en colère qui crient même des slogans excessifs !.

A cette vue Mitterrand se sent « décoller », il en devient presque « fou », il perd la tête, s’énerve, tourne comme un lion en cage. Mais la foule s’en va dans un grand silence lourd. Alors Mitterrand rit. Il se frotte les mains. Il brandit des papiers, documents, articles... (Il s’agit là vraisemblablement d’évènements passés qui risquent de se reproduire, vu la virulence de la foule. Mais je vois qu’un bon nombre de personnes vont plutôt se retirer « dans leur coquille », en méditant sur le
« changement »).

Je vois Mitterrand qui « reprend le dessus » et continuer comme « avant ». Il se sent à nouveau
« solide ». Il continue de circuler dans les mêmes locaux. Il ne semble pas « partir » pour l’instant.
Il « signe » deux papiers importants, l’air satisfait. Ces documents concernent probablement les lois enseignement et presse. Ensuite, il se sent très détendu, joyeux, comme s’il venait de faire une bonne farce à quelqu’un. Puis il se calme, il semblerait même s’ennuyer un peu et cherche des idées. Il se gratte la tête : à nouveau, il ne sait pas quoi faire. A nouveau, il y a un gros dossier sur son bureau : le plus gros qu’il n’ait jamais eu. Il est quasiment noyé dans les papiers de ce dossier.
Il se lève, il s’énerve : il ne sait par où attaquer ce dossier.

C’est un dossier au sujet duquel est concerné au premier chef : M. Jacques Chirac.
M. Mitterrand est très très en colère, tandis que Chirac est d’un calme olympien. Il stationne face
à Mitterrand et l’affronte dans la dignité, sans céder un pouce de terrain, tout prêt à prendre
la place. M. Mitterrand devient de plus en plus excédé par l’autorité, la prestance et
la détermination du représentant du RPR qui représente lui-même la tendance générale.
Ce qui précède aboutit, « à un moment donné (!) » à ce que M. Mitterrand s’en va en claquant
la porte, tandis que Chirac reste dans le bureau occupé précédemment par le Président
de la République. Chirac et ses acolytes se regardent en souriant :
c’est à leur tour d’être satisfaits et de se frotter les mains. Ils se mettent tous au travail sans attendre et mettent notamment de l’ordre dans les papiers de Mitterrand (Il me semble donc évident que
M. Chirac sera élu Président, son tour viendra !).

Mais il est aussi à prévoir que Mitterrand ira au bout de son mandat !
Pourtant, son « bureau » est rempli de gens vindicatifs (le bureau est rempli entre la moitié et les 2/3, donc un peu plus de la ½ mais pas tout à fait les 2/3) gardant difficilement leur calme, se retenant
de se « jeter » sur le Président qui reste obstinément assis à son « bureau » où il est « installé » ainsi séparé de ses antagonistes. Et cette limite semble impossible à franchir par les antagonistes. Elle constitue une sorte de « barricade invisible » derrière laquelle Mitterrand se réfugie tout à fait certain de cette protection. Mitterrand ne quitte pas son poste actuel, il ne cède pas à la pression.

La station prolongée de François Mitterrand au gouvernement de la France fait que celle-ci reste grande et digne, mais maigre et triste. La France met quelques œufs dans un petit panier, mais
le panier est loin d’être plein ! La France s’assoit tristement dans l’herbe avec son petit panier presque vide sur le bas-côté d’une route assez longue, plane, mais où voltige la poussière,
ce qui occulte la majeure partie du paysage.

Comme sœur Anne, la France regarde si elle ne voit rien venir. Elle attend patiemment.

Voici un « véhicule » (symbole de nouveau gouvernement, nouveau moyen d’avancer).
La France monte « prestement » en voiture avec son petit panier. Durant les premiers mètres,
la voiture est poussive et le petit panier ne se remplit pas plus qu’avant. Tout de même, la France
se sent mieux, plus à l’aise, dans ce véhicule carré (symbole de stabilité, solidité, sécurité).
La France n’est pas seule dans ce véhicule (Probablement la France ne sera-t-elle pas seule dans ce cas : changement positif de gouvernement au cours d’une situation négative).

La France regarde l’avenir (la route) par la portière du véhicule : elle trouve le voyage long et aperçoit une côte à monter, à l’horizon. La France discute avec les autres passagers (gouvernements de pays solidaires, trois, je pense).

Bien qu’il n’y aura jamais un panier rempli d’œufs, avec le prochain gouvernement, la France réussira à distribuer des œufs à tout le monde car, à cette époque, chaque fois que la France donne un œuf, le panier se recharge automatiquement. Bien qu’il n’y ait que peu de réserve
(très peu), le panier ne devient jamais complètement vide.

Vraisemblablement, le changement de gouvernement permettra de maintenir un équilibre précaire, mais avec un mouvement et une vie qui n’existait pas auparavant.

D’ailleurs, à un moment donné, la France change de panier et prend un panier plus grand
(les choses s’améliorent) mais il n’y a toujours pas davantage d’œufs au fond du grand panier qu’il n’y en avait dans le petit.

Le contenant s’améliore visiblement, mais pas le contenu. Malgré cela, l’espoir est permis.

La France semble avoir toujours la même stature : grande, digne et maigre.
Mais, si on y regarde de plus près, elle est légèrement grandie, un peu moins triste. Elle semble avoir des « vêtements » moins stricts, plus vaporeux, plus mouvants, comme si dans ses « vêtements » revenait une vie, petit à petit, presque sans qu’on s’en aperçoive. (Vêtements : symbolique des habitants de la France et de leur état d’esprit, qui redevient donc positif, lentement).

Enfin, la France, redevenue à une « corpulence » presque normale, vêtue d’une robe simple mais fraîchement populaire, émanant un parfum de calme gai, pousse une petite barrière et pénètre dans un jardin (symbole de repos, détente), toujours avec le grand panier et son fond d’œufs.

Dans ce jardin règne une luminosité bleue électrique éblouissante qui occulte le paysage (symbole d’inspiration géniale, de solution, due à l’ère « électronique / informatique », qui permet la réalisation des rêves et des ambitions au niveau de la France).

Dans cette ambiance, la France se dissous et réapparaît aussitôt sous la forme d’une femme rajeunie, embellie, heureuse, épanouie, du style « fée, sainte, reine ou vierge Marie » (donc femme idéale, sublime, merveilleuse).

La France qui, à grands efforts lents, réussira à conserver son équilibre et à améliorer petit à petit la situation grâce à l’alternance, verra à long terme, un changement complet de structure de société.

Un évènement social de très grande importance – aboutissement inévitable eu égard à la situation passée, présente et future – sera à l’origine d’une mutation totale de la France et des français, peut-être même à l’échelle mondiale.

Cette mutation sera extraordinairement positive, peut-être même idéale.

Quant à moi (née en 1947), je verrais éventuellement cette mutation, mais je serais alors à cette époque, vraisemblablement très âgée.

Cette mutation n’aura lieu en aucun cas avant une trentaine d’années, peut-être même cinquante. Ce sera le début d’une vraie ère nouvelle.

D’ici là, il s’agira plutôt de replâtrages limités, d’améliorations certaines
mais lentes et d’importance moyenne, difficiles à réaliser.

Marine LE PEN :
Lion ascendant Balance
Lune en Capricorne – Milieu du ciel en Cancer

- Emmanuel MACRON :

Un citoyen doté d’une importante force de caractère du fait de son thème astrologique qui lui apporte le plein d’énergie ! Malheureusement, ces aspects font de lui un être si têtu qu’il peut
en devenir borné, totalement incapable de changer d’avis ou de position et intimement persuadé que ce sont les autres qui doivent le suivre et non l’inverse, que ce sont les autres qui doivent changer !…

Ces caractéristiques dénotent un individu à tendance nombriliste et égocentrique avec une nette tendance à l’autosatisfaction ! Sa propension à la manipulation d’autrui le maintient dans
un fallacieux sentiment de supériorité ! Il éprouve une certaine jouissance à utiliser ses pulsions despotiques, destructrices et punitives continuant ainsi d’amplifier son sentiment de vanité !

En conclusion, nous avons affaire au profil redoutable d’un personnage peu évolué au niveau
de la conscience, négatif du point de vue humaniste et spirituel, un prédateur aux bas instincts matérialistes ! Mais, tout ce qui a un début a une fin : en raison de ses comportements peu judicieux et de ses décisions jupitériennes, au fil du temps, désabusés, ses compères sont susceptibles
de se désolidariser définitivement !

- Marine LE PEN :

Astrologiquement, c’est une personnalité à la douceur toute féminine mais assertive*, lumineuse, dotée d’une ambition certaine, indispensable moteur car Marine a, au fond d’elle, un manque
de confiance en soi heureusement équilibré par une force de caractère ne se manifestant pas nécessairement de prime abord : une main de fer dans un gant de velours…

Contrairement à Emmanuel MACRON, Marine a la capacité d’écouter les avis différents et
les analyses contradictoires car elle est attentive aux autres. Elle possède un instinct maternel naturel et l’esprit de famille, d’équipe ! Elle est apte à changer son fusil d’épaule lorsque cela est juste ou si cela s’avère nécessaire eu égard à la conjoncture du moment…

Antinomique d’Emmanuel MACRON, face à lui, Marine ne fait pas le poids car c’est une « gentille » alors que ce bougre à la personnalité complexe, à l’esprit retors, a le pouvoir de générer
la confusion dans l’esprit de ses interlocuteurs du fait, notamment, de son regard hypnotique !

* Le comportement assertif se définit comme une attitude, une posture d'affirmation de soi tout
en respectant l'autre. C'est savoir s'affirmer en ayant une attitude respectueuse envers les autres, dans le but d'avoir des relations apaisées.

C’était un bandit de grand chemin, un voleur, chef d’une bande de d’environ 20 ou 30 malandrins
qui détroussaient - vers les années 1800 ou même avant – tous ceux qui croisaient leur route,
dans les bois et les campagnes, riches paysans, marchands, nobles ou notables…

C’était une sorte de « Robin des bois » en négatif car il éprouvait une satisfaction, un plaisir
pervers, à assassiner les individus attaqués pour s’emparer de leur argent ou de leurs biens…

C’était un opportuniste qui faisait feu de tout bois qui est devenu brigand vers l’âge de 15 ans
dans la bande d’une célèbre voleuse (peut-être Marion du Faouët ?).

Quand il était jeune, il était très impulsif, agressif et violent, il n’hésitait pas à battre ou même à tuer ses contradicteurs, il faisait régner la terreur dans sa troupe de malandrins qui le craignaient fort
et ainsi, lui obéissait au doigt et à l’œil. Il y avait une très jeune femme à ses côtés, il semble que
ce soit sa sœur, une voleuse qui, elle aussi, avait peur de lui.

Plus âgé, vers 20 ans, il était devenu un chef incontestable et incontesté, un malandrin activement recherché par la maréchaussée.

Un jour, vers 25 ans, ayant été informé de l’absence des propriétaires partis en voyage pour
un long séjour, ce « roi des voleurs » décida de faire un « gros coup » : faire main basse dans
une riche maison bourgeoise (ou petit château), à la campagne, en périphérie du village !
Il était accompagné d’environ 15 complices et, après avoir assassiné les 3 chiens de garde,
les 2 gardiens armés s’étant enfuis en courant à toutes jambes, il pénétrèrent facilement dans
la riche demeure dans le but de s’approprier le plus possible d’objets de grande valeur, dont
des pièces d’or…

Or, ils ignoraient qu’il s’agissait d’une mise en scène organisée par la maréchaussée avec l’assentiment des propriétaires, pour attirer le brigand afin qu’il tombe dans la souricière.

Selon le piège tendu, la maréchaussée les laissa pénétrer tranquillement dans les lieux ! Aussitôt,
lui et sa bande se trouvèrent encerclés et bloqués dans le château, car les « gendarmes » réquisitionnés et armés étaient nombreux, environ 30. Le « rois des voleurs » et ses complices
ne réussirent pas à s’échapper : ils furent capturés, enchaînés et conduits jusqu’à la prison
de la ville la plus proche où lui et ses acolytes furent jetés dans un cachot où ils ne restèrent pas très longtemps car il furent rapidement condamnés à être pendus haut et court, jusqu’à ce que mort
s’en suive…

Ainsi s’acheva, vers l’âge de 28 ans, l’histoire de ce bandit de grand chemin qui avait manqué d’intuition et était tombé stupidement dans un traquenard pour, finalement, mourir de mort violente, prématurément et sans descendance !

Les gens du pays furent bien soulagés, ils purent enfin « respirer » et oublier la peur d’être braqués car les détrousseurs, n’ayant plus de chef, s’étaient tous dispersés, éparpillés...