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LES ABEILLES
BIOINDICATRICES DE LA NOCIVITÉ
DE LA RADIOTÉLÉPHONIE ? |
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Pierre-Jean GAREL |
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« Elle – la Bête – accomplit des prodiges étonnants : jusqu'à faire descendre, aux yeux de tous, le feu du ciel sur la Terre. »
L'Apocalypse de Jean nous a prévenu, si nous savons lire le verset 13,13.
Faut-il traduire ce "Feu du ciel" l'un des 4 éléments de base avec la Terre, l'Eau et l'Air, appréciés des Anciens pour appréhender la Physis, la Nature, à laquelle ils ajoutaient volontiers un Vème Elément plus subtil, l'Ether ? |
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Ce Feu rime bien avec l'universalité des ondes électromagnétiques qui tapissent l'espace terrestre, solaire et galactique, désormais domestiquées - prodigieuse invention technique de la fin du XIXième siècle - en radiocommunications de toutes sortes dont la bien connue radiophonie hertzienne de nos téléphones mobiles ou portables, provenant d'émetteurs satellitaires et terrestres. Ce "feu céleste" visible aux yeux de tous peut aussi évoquer la foudre qui relève du domaine des décharges électriques, une sorte d'archétype. Etonnant et inquiétant ce phénomène récent de la disparition en masse des abeilles sur quasiment tous les continents, en tout cas les plus développés : Amérique du nord et Europe. Les américains prompts à définir une situation ont rapidement étiqueté cette étiologie animale « syndrome d'effondrement des colonies » ou CCD en anglais. 25 % du cheptel aurait disparu pendant l'hiver 2006, année qui connut le quadruplement de l'intensité des champs électromagnétiques (CEM) (portée à 3,6 millions Watt), émis par la station de Gakona en Alaska dans le cadre du programme militaire HAARP américain, piloté par les U.S. Air Force et U.S.Navy.
Cette énigmatique disparition ne rappelle t-elle pas la prémonition attribuée à Albert Einstein ?
« Si l'abeille venait à disparaître, l'homme n'aurait plus que quelques années à vivre » chiffrées à 4 années ! |
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Pour une raison simple de fond : plus de 80 % des espèces de plantes à fleurs dans le monde, un peu moins pour les espèces cultivées en Europe, dépendent directement de la pollinisation par les insectes : des abeilles pour l'essentiel. Bernard Vaissière, spécialiste du sujet à l'INRA, nous le rappelle « Sans les butineuses, la plupart des cultures n'atteignent plus une production satisfaisante : les espèces sauvages de plantes aromatiques, les arbres fruitiers, les grandes cultures oléagineuses et protéagineuses, les cultures maraîchères, et les crucifères, les ombellifères, les alliacées. Bref, difficile d'imaginer un repas auquel les abeilles ne soient pas associées de près ! ». |
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On comprend mieux notre brève survie énoncée par le grand physicien humaniste.
Toutefois, signalons que le blé, le riz et les pommes de terre n'ont pas besoin d'abeilles.
« En 30 ans de métier, s'écrie M. Panella, président du syndicat des apiculteurs professionnels italiens, je n'ai jamais vu ça : les butineuses se sont volatisées ». Même son de cloche alarmiste en Allemagne :"Les rayons des abeilles sont vides ! " tempête M. Hederer, Président de l'Union professionnelle allemande des apiculteurs. En Suisse, toujours en 2007, 30 % environ des abeilles ont disparu, un demi-milliard d'animaux n'ont pas laissé de traces. Seul le couvain est abandonné sans soins aux plus vieilles abeilles jusqu'à sa mort... F.Ruzicka, scientifique et apiculteur, constate "une tendance élevée à former des essaims et à migrer, même en plein hiver, malgré la neige et une température inférieure à 0°C"... et ajoute-t-il, "les problèmes sont en train d'apparaître depuis que, dans l'environnement proche de mon rucher, plusieurs émetteurs se sont installés". Corrélation confirmée par une enquête auprès d'une vingtaine d'apiculteurs unanimes : les abeilles fuient, meurent, deviennent agressives lorsqu'une antenne de radiotéléphonie est implantée à moins de 300 m d'un rucher sain et vigoureux. Les ruches qui débordaient d'abeilles au sortir de l'hiver, se sont brutalement vidées, conclut laconiquement Gaëlle Dupont, journaliste au Monde (30 août 2007). |
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Faut-il ajouter que les couples de cigognes sont infertiles lorsqu'un émetteur hertzien se trouve à moins de 200 m de leur nid et retrouve une progéniture au-delà de 300 m ? Faut-il aussi préciser que le niveau du rayonnement artificiel, développé dans nos grandes villes, est en moyenne de 10 milliWatt/m², avec des valeurs limites souvent transgressées par un facteur 1000... autorisé !
Soupe ou brouillard électromagnétique, oui c'est bien le phénomène de "l'électrosmog" décrit au début des années 1970 par un jeune universitaire allemand, Ulrich WARNKE, à l'Université de Sarrebrücken. |
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Par comparaison, le rayonnement naturel de base à la surface terrestre dans le domaine des 300 MégaHerz à 300 GigaHerz est très faible, de l'ordre du nanoWatt/m² (milliardième de watt). Une partie de la faune de tous temps s'est adaptée au cours de l'Evolution, notamment pour s'orienter et naviguer comme les poissons, les pigeons voyageurs et les oiseaux migrateurs, en plus des abeilles et d'autres insectes.
Alors les causes de leur régression – on ne parle pas encore de leur extinction, mais elle rôde – sont dit-on connues : première citée, l'épandage d'insecticides dont les tristement célèbres Gaucho® et Regent® de la firme Bayer, de redoutables neurotoxiques, utilisés depuis 1994 en France, désormais interdits pour le maïs et le tournesol et suspendus depuis peu pour les autres cultures. Les abeilles les absorbent dans la rosée. Elles volètent un temps, étourdies, perdent alors le sens de l'orientation. On trouve souvent leurs petits corps à l'extérieur de la ruche, sur la planchette d'envol. Elles possèdent peu de gènes de détoxification et sont particulièrement démunies et sensibles à ces produits chimiques, non destinés pour elles.
Sont ensuite mentionnées les OGM , les ondes électromagnétiques, hypothèses rapidement écartées sans grand débat. On rappelle la susceptibilité des abeilles à un redoutable acarien qui a sévi et sévit encore en Europe depuis les années 1980, le Varroa destructor, au nom évocateur, qui a « voyagé au gré des échanges commerciaux de reines entre continents ». Nouveau suspect, détecté à 83 % dans les colonies touchées par le CCD, un virus israélien de paralysie aiguë qui pourrait être « une conséquence, plutôt qu'une cause » de l'affaiblissement des colonies. On cherche des traces chimiques du côté des chercheurs français perplexes. On fait confiance davantage à leurs comportements en Italie.
On finit par abandonner son métier chez les apiculteurs désespérés... |
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S'il faut désigner un autre coupable, insidieux et universel, plus neurodéficient encore, tournons notre regard vers la généralisation des antennes-relais ou émetteurs hertziens
de radiotéléphonie.
Officiellement, ces radio-fréquences GMS, UMTS et DECT ne sont pas dommageables pour le cerveau humain, bien que des études suédoises, parmi les premières, commencent à lever le voile sur leurs effets : 10 ans d'usage d'un téléphone mobile augmente l'incidence des cancers cérébraux.
D'autres travaux de synthèse pertinents sont désormais disponibles surtout en Belgique, à l'instigation d'une poignée de scientifiques curieux de l' Université catholique de Louvain et de la Faculté polytechnique de Mons et de non moins audacieux pionniers francophones bien connus. |
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C'est Jean-Marie Danze qui attira mon attention sur les travaux d'une équipe interdisciplinaire allemande de l'Université de Koblenz-Landau, spécialisée dans l'informatique éducationnelle, sous
la direction du Prof. Hermann Stever avec lequel je suis désormais en relation. Physiciens et apiculteurs collaborent depuis 2001 pour étudier les performances du minuscule cerveau de l'abeille, sous l'angle d'un modèle d'apprentissage pour l'Homme. Il est temps... avant qu'elles ne disparaissent !
Qu'ont-ils donc trouvé de pertinent pour éclairer notre lanterne ? Le corps de l'abeille et les dimensions de son cerveau - notamment ce qu'on appelle « les corps champignons » de l'ordre de 800 μm de longueur - sont capables d'entrer en résonance avec les ondes radiotéléphoniques à hautes fréquences. Le corps entier de l'abeille peut résonner sur 15 Ghz et ses corps cérébraux à des fréquences supérieures à 375 Ghz. On est voisin de la zone des micro-ondes utilisées par les téléphones mobiles 0,9 – 1,8 Ghz avec un fréquence de pulsation de 217 Hz qui correspond à celle des fréquences (200-300 Hz) de la fameuse « danse frétillante » des butineuses qui communiquent les coordonnées spatiales de leur aire de récolte.
Ces chercheurs insistent sur le phénomène physique bien connu de la résonance. Lorsqu'un corps dit résonateur est touché par une fréquence précise dite de résonance, il peut vibrer à l'unisson de cette fréquence comme la corde d'un instrument de musique à l'émission d'un son spécifique. Dès lors, une radiation de haute fréquence comme celles des micro-ondes exerce une stimulation de résonance qui se traduit par un « effet non-thermique ou athermique » indécelable et dommageable, en plus de l'effet thermique exploité depuis longtemps à des fins tant industrielles que domestiques sur la molécule d'eau notamment. |
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Or, des séries d'observation in situ menées en 2005 et confirmées en 2006 avec des téléphones sans fil et leurs socles émetteurs installés sous la ruche ( moins puissants que les téléphones mobiles) ont montré que les non-retours des butineuses s'amplifient, la confection des alvéoles de cire baisse de 21 % et que certaines ruches sont même désertées Les cadavres sont introuvables. Elles sont bien vides. L'essaim tout entier – reine comprise – l'a quittée pour tenter d'échapper à une influence délétère qui les dérange, les rend folles... comme les poussins, en laboratoire, fuient un four à micro-ondes dès qu'il est en marche. |
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Si j'étais sensible sciemment à une gêne de ce type, je commencerais par fuir mon habitat. Mais voilà, je me plains de fatigue insidieuse, chronique, de démoralisation permanente, d'irritabilité doublée d'asociabilité, voire d'agressivité incontrôlée... surtout après un longue familiarité avec l'ordinateur. Je ne fuis pas, où irais-je ? Je subis. À quand la panique ?
Mais, nous ne sommes pas, dans l'ensemble, radio-sensibles à de tels rayonnements, sauf quelques « malades » qui se plaignent de plus en plus souvent de maux de tête, d'insomnies, d'asthénie incurable, voire entrent en des transes impressionnantes. Or, depuis une quinzaine d'années ON sait qu'ils sont "hypersensibles" ou allergiques à certaines fréquences électromagnétiques, traités sous cortisone, avant d'être licenciés. Les essais anglais réussis d'un traitement homéopahtique personnalisé, préconisé par feu le Prof. SMITH, fait enrager les spécialistes.
En effet, la litanie des « maux de civilisation » s'allonge auxquels la culture médicale dominante n'a pas de réponse formelle, car elle concerne surtout le métabolisme des réactions rédox, impliquées dans les transferts d'électrons, le stress oxydatif et une grosse partie des troubles fonctionnels dont les enzymes dites de la famille NOX (NO pour oxyde d'azote, X pour une oxydase donnée comme la NADH) sont hélas magnéto-sensibles. C'est dès lors vers la mitochondrie, petite centrale énergétique de la cellule, qu'il faut tourner son regard pour y déceler l'origine des maladies dégénératives qui ont altéré l'ADN et qui, transmises par la mère, affecteront les jeunes de demain. Nous connaissons déjà un grand nombre de processus pathologiques irréversibles, neuro-dégénératifs et de maladies cardiaques qui relèvent de ces oxydases.
Ne nous cachons pas la réalité ! Elle n'est pas drôle du tout. Aujourd'hui, il y a une littérature scientifique qui apporte la preuve causale entre les données épidémiologiques de troubles fonctionnels et de symptômes pathologiques de la communauté humaine avec l'effet – déclaré nocif – des CEM. Il existe un mécanisme d'action plausible, général, capable d'expliquer ces troubles fonctionnels : le stress oxydatif. De plus, ces derniers peuvent être "considérés scientifiquement fondés comme cause de ces symptômes pathologiques décrits par des millions de sujets". Ajouterai-je que les traitements médicamenteux variés proposés sont cautères sur une jambe de bois , s'ils ne contribuent pas à aggraver le "mal".
Enfin," tout effet nocebo (craintes subjectives qui se répercutent dans le corps affectant sa santé) est exclus. Ces symptômes ne sont pas "imaginaires". Habituellement, ils sont réversibles après élimination ou coupure des champs physiques agressants sur de courtes périodes de temps."
Un biophysicien allemand, le Prof. Ulrich WARNKE, déjà cité, a fait magistralement le point sur cette question complexe qui, à elle seule, justifie désormais la nocivité des CEM, surtout à hautes fréquences, désormais appréhendée par la recherche scientifique dont les résultats sont librement accessibles. Il suffit de lire ce qu'il faut lire ! "Depuis plusieurs décennies,insiste-t-il, la science sait que nous, humains, dépendons des conditions naturelles pour de nombreuses fonctions vitales. Or ce système normal d'information et de fonctionnement des êtres humains, des animaux et des plantes n'avait jamais encore été recouvert par une densité et une intensité magnétique artificielle de champs électriques et électromagnétiques issus de nombreuses techniques de la téléphonie mobile et de la radio-communication".
Ces chercheurs sont aussi des responsables citoyens qui s'inquiètent avec raison de la protection de leurs semblables, de l'environnement surtout animal et... de la démocratie. Qui nous gouverne ? Qui nous informe ? Qui est au final responsable du gachis actuel et futur ? Le mouvement catalysé récemment en France par le Dr David Servan-Schreiber bien médiatisé, entouré d'une équipe biomédicale, va servir d'amplificateur à une crise hautement plus redoutable que celle de la cherté du pétrole et des jeux spéculatifs sur quelques denrées alimentaires de première nécessité. |
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Cette piste, unique aujourd'hui au monde, mérite d'être signalée et amplifiée. Imaginons un instant qu'elle devienne boulevard.
Les conséquences en sont effectivement terrifiantes :
ce qui est nocif pour les abeilles est aussi nocif pour l'homme !
Ou l'inverse :
ce qui est BON pour les HUMAINS est BON pour les ABEILLES. |
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Logique, imparable. La Physique ici est plus puissante et incontrôlable que la Chimie. Redoutable, car généralisée, proche, de quelques km pour une antenne-relais à quelques cm pour un cellulaire. Si nous avions l'idée de fuir, où irions-nous vraiment, piégés par un monde technologique omniprésent et volontairement aveugle et sourd ?
Un autre sage aurait-il le mot de la fin ? « L'homme a perdu la capacité de prévoir et d'anticiper. Il finira par détruire la Terre. » Albert Schweitzer.
Peut-on se protéger correctement des influences nocives, à tout le moins non- biocompatibles, de ces hautes fréquences radiotéléphoniques ?
Oui. De nombreuses tentatives de pionniers atypiques, ayant ou non des connaissances physiques et/ou biomédicales assurées, ont déjà oeuvré et continuent de le faire avec souvent courage et abnégation pour proposer une grande variété de puces, cartes, plaquettes, rondelles, boules, anneaux,... capables de vous "protéger" des effets nocifs desdits CEM. Effectivement, il existe désormais du matériel efficace.
Posé ou collé sur votre console d'ordinateur, votre téléviseur, introduit dans le compartiment de la batterie de votre téléphone portable, voire même porté sur vous dans une pochette lors d'un déplacement, la "chose" céramique, plastifiée, métallisée, vous protège de ce stress électromagnétique ambiant, vous détend, vérification en électro-acuponcture par exemple. Elle devrait, à terme, vous éviter une dégénérescence type Alzheimer qui pointe chez les adolescents quand ils auront 15 ans de plus comme l'a bien montré le Prof. Leif. G. SALFORD, neurochirurgien au CHU de Lund en suède, au début des années 2 000, chez des rats exposés pendant 20 minutes par jour à un cellulaire, pendant 15 jours. Cerveau déjà irréversiblement endommagé ! |
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Une batterie de tests biologiques variés tant sur des graines en voie de germination ou des jaunes d'oeuf, que sur l'humain (analyses sanguines, EEG, comportements neuromusculaires notamment), des tests physiques en cage de Faraday par ex. qui bloquent les oscillations transversales des CEM, mais laissent passer la composante longitudinale dite de Tesla, porteuse d'informations capables d'émouvoir une cellule, des mesures en Mora- et Véga-thérapie, et d'autres encore, "prouvent" que ces pionniers ont raison, que leur matériel est capable de "protéger" la victime des effets nocifs dudit rayonnement.
Depuis une quinzaine d'années, je me suis penché sur un certain nombre des ces procédés. BioProtect ou BP m'a paru performant, eu égard au rapport qualité-prix de sa gamme. Nous le devons à un médecin bavarois, le Dr Dieter GRÜN, solide praticien d'électro-acuponcture. |
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© Pierre-Jean GAREL
Vistrorio (TO), Italia, le 21 juin 2008
www.emabio.eu
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1) André Gérin, Benoît Stockbroeckx et André Vander Vorst, Champs micro-ondes et santé, Hyperfréquences UCL, 1999, www.emic.ucl.ac.be |
2) Rapport du CSIF-CEM autour du Prof. Roger Santini de Villeurbanne (décédé depuis) et Jean-Marie Danze , consultant en Biophysique à l'Université de Liège, notamment, mis à jour en avril 2006, disponible sur demande sur le site www.delvaux-danze.be |
3) Publication traduite par J.M. Danze : Modifications du comportement des abeilles sous l'effet d'exposition électromagnétique. Etude pilote 2005 de H. Stever et coll. |
4) Bienen, Vögel und Menschen. Die Zerstörung der Natur durch Elektrosmog, feuillet 1 nov. 2007 de la revue Wirkungen des Mobil- und Kommunikationsfunks, disponible via bienenbroschuere@kompetenzinitiative.de , traduction disponible sur mon site www.emabio.eu ou encore Abeilles, Oiseaux et Humains. La destruction de la nature par l'électrosmog. Revue Effets de la radiotéléphonie et de la radiocommunication. |
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© Pierre-Jean GAREL
Biologiste conseil
Directeur de recherche CNRS honoraire
Courriel : pj.garel@hotmail.fr
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Dernière
mise à jour
lundi 29.01.2018 17:10
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