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Victime du Stilnox (Benzodiazépines) |
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VICTIME DU STILNOX
Benzodiazépines
et assimilés dont STILNOX (Zolpidem) |
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Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les situations suivantes :
- Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants,
- Insuffisance respiratoire sévère - Myasthénie
- Syndrome d'APNÉE DU SOMMEIL
- Insuffisance hépatique sévère, aiguë ou chronique (risque de survenue d'une encéphalopathie) |
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2011 - SANS STILNOX, JE ME SENS REDEVENIR "VIVANTE" ! (Silviane Le Menn) |
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Psychotropes Anxiolytiques - Classe des Benzodiazépines : Valium - Rohypnol - Lexomil - Lysanxia - STILNOX - Halcion - Imovane - Xanax + Génériques…Effets indésirables rapportés : SUICIDES, Homicides, Tueries familiales, Massacres (+ de 10)
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29.11.2011 |
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Des statistiques effroyables sur les SUICIDES en France viennent d’être rendues publiques,
2 régions françaises, la BRETAGNE et le Nord Pas-de-Calais sont particulièrement touchées
avec des augmentations de plus de 50% ! |
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Ces décisions étaient guidées par un impératif de sécurité sanitaire pour les patients et ont été prises pour répondre à une volonté de transparence du processus de décision et d’information.
12 médicaments PSYCHOTROPES sont soumis à un plan spécifique de surveillance (cette information sera développée dans une RUBRIQUE consacrée aux stupéfiants et psychotropes). |
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L’ Afssaps continue à renforcer sa politique de vigilance et de décisions
de sécurité sanitaire prises au nom du service de la sécurité des patients, d’ information vers
les professionnels de santé, via des mises en garde,
et le grand public. Ces informations sont également relayées par les organismes professionnels
et disponibles sur le site internet de l’Afssaps. |
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Sciences et Avenir révèle les premiers résultats d'une étude française qui estime que
la consommation chronique d'anxiolytiques et de somnifères augmente le risque d’entrée
dans la maladie d'Alzheimer. Chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines. |
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20 à 50% de risque en plus
Mais ce n’est pas tant la nature des médicaments qui est en cause que l’usage
qui en est fait.
"Les recommandations de traitement de durée courte, c’est-à-dire 4 à 12 semaines,
ne sont absolument pas respectées chez nous", déplore le professeur Bernard Bégaud, responsable de l’étude, interrogé par Europe 1.
On voit des sujets qui en consomment 2 ans,
10 ans, 12 ans, 15 ans, sans jamais arrêter.
Et c’est ça qui nous inquiète beaucoup". |
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Pour le psychiatre Patrick LEMOINE, le lien entre la consommation excessive de somnifères et d'anxiolytiques et le risque de démence s'explique. En cause : une aggravation de l'apnée du sommeil. Il estime que certaines benzodiazépines devraient être retirées du marché. |
ENFIN UN MÉDECIN LUCIDE !
ENFIN UN MÉDECIN QUI COMPREND MON CAS ! |
Imovane, STILNOX, Mogadon... ces somnifères appartiennent tous
à la classe des benzodiazépines. (PETILLOT/SIPA). |
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Parce que, pour vous, ce lien entre consommation
de benzodiazépines et entrée dans la démence est donc
une évidence ? |
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« Et je pense qu’il y a une explication, qui est liée à l’augmentation des arrêts respiratoires
(en durée et en fréquence) que provoquent les benzodiazépines pendant le sommeil. Or, on sait parfaitement que ce syndrome d’apnée du sommeil aboutit à des tableaux démentiels.» |
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En quoi ces arrêts respiratoires augmentent-ils le risque de démence ?
Le problème, c’est la multiplication des asphyxies. Un apnéique va faire 60 asphyxies par heure de sommeil, soit 300 à 400 par nuit ! Ce qui provoque à chaque fois une augmentation du CO2 dans le sang, qu’on appelle « hypercapnie ». Or, une hypercapnie a deux organes cibles :
le cortex cérébral et le myocarde. Il est parfaitement établi que les gens qui souffrent d’une apnée du sommeil présentent un risque majeur – c’est peut-être le plus important de tous - d’AVC (accident vasculaire cérébral) et d’infarctus du myocarde.
Même si les patients ne sont pas victimes d’une hémiplégie ou d’un AVC majeur, on sait
qu’ils font en réalité des micro-infarctus [petites attaques cérébrales, ndlr] et développent
des syndromes démentiels. Ce n’est que post-mortem que l’on peut voir s’il s’agissait
de démences vasculaires ou de la maladie d’Alzheimer, surtout que la plupart du temps il s’agit d’un mixte des 2 : ainsi, certaines personnes développent un petit Alzheimer, et s’ils prennent des benzodiazépines, ils aggravent leur apnée du sommeil, et là c’est la catastrophe.
On sait très bien maintenant qu’ un quart de Lexomil pris à 19h multiplie par 2 le nombre
et la durée des incidents respiratoires. La prise de ces médicaments peut donc transformer
un ronfleur avec quelques apnées en apnéique pathologique. Je pense que certains patients
ne développeraient pas de démence si leur cortex cérébral ne subissait pas autant d’ hypercapnies et donc d’ asphyxies. |
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Patrick LEMOINE est psychiatre, docteur en neurosciences et en biologie humaine, ancien praticien hospitalier et directeur d’enseignement clinique à l’université Claude Bernard
de Lyon. Il est actuellement le coordinateur international de la Division Psychiatrique
du groupe de cliniques ORPEA-Clinea.
Patrick Lemoine est membre d'honneur de l'INREES (Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires) et a publié de nombreux ouvrages consacrés au sommeil et à ses troubles,
à l’anxiété et au sevrage des médicaments :
- La détox c'est la santé (Robert Laffont, 2011)
- Le Sexe des larmes (2002 - Robert Laffont, 2011).
- Le Mystère du nocebo (Odile Jacob, 2011)
- La Fontaine, les animaux et nous (Armand Colin, 2011)
- Dites-nous Patrick Lemoine, à quoi sert un psychiatre ? (Armand Colin, 2010)
- La vie Alzheimer (Armand Colin, 2009)
- Le mystère du placebo (Odile Jacob, 2006)
- Quiproquos sur ordonnance (Armand Colin, 2006)
- Les troubles du sommeil (In Press, 2005)
- L'enfer de la médecine est pavé de bonnes intentions (Robert Laffont, 2005)
- Séduire, comment l'amour vient aux humains (Robert Laffont, 2004)
- Je déprime, c'est grave docteur ? (Flammarion, 2001)
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Joan Gadsby n'a plus une minute à perdre dans sa bataille contre l'industrie pharmaceutique.
Les pires RAVAGES attribués à la DROGUE ne passent pas l'action véreuse d'un dealer propriétaire d'un coin de rue, mais par celle d'un vénérable médecin lové dans son cabinet. C'est 10 fois le problème des drogues illégales, a-t-elle dit hier. Les BENZODIAZÉPINES sont les DROGUES les plus prescrites. » ET LES DOMMAGES SONT SÉRIEUX. |
Pris sur une LONGUE PÉRIODE, les DROGUES de la famille des
« BENZOS » (tranquillisants et pilules pour DORMIR) affectent l'HUMEUR, la MÉMOIRE, les facultés psychomotrices.
Elles causent une dépendance sévère et il n'est pas rare que la " pilule miracle " provoque des excès de RAGE voire des IDÉES SUICIDAIRES. |
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C'EST TOUT MOI !!! |
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Le ZOLPIDEM (Ambien, Stilnoct, STILNOX) est classé
non-BENZODIAZÉPINE mais produisant des réactions similaires. |
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Mercredi 23 février 2011 - Je suppose que le retour du goût, hier, est lié
au SEVRAGE du STILNOX commencé le 6 février 2011) sachant qu'après ma crise du 31 janvier 2011, j'avais perdu l'appétit et j'avais des nausées.
HEUREUSEMENT, IL Y A INTERNET, car depuis 25 jours,
je ne cesse de me demander ce que j'ai eu, ce que j'ai :
DÉPENDANCE ET INTOXICATION À LA DROGUE LÉGALE STILNOX + CURE DE DÉSINTOXICATION, SEVRAGE SOLITAIRE (SANS SOUTIEN NI SURVEILLANCE MÉDICALE).
Cette désintoxication pourrait se prolonger plusieurs mois !
Petit à petit, je me sens un peu mieux, chaque jour je constate un léger
mieux au niveau de mes troubles divers, mais je reste bien fatiguée
et très fatigable. |
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COÛTS SOCIO-ÉCONOMIQUES DE L'USAGE PROLONGÉ D'UNE BENZODIAZÉPINE |
- Accroissement du risque d'accidents - de circulation, chez soi, au travail.
- Accroissement du risque de victime dû à une overdose, si mélangée à d'autres drogues.
- Accroissement du risque de tentative de suicide surtout en état dépressif.
- Accroissement du risque d'attitude agressive et d'attaque.
- Accroissement du risque de vol à l'étalage et autres actions antisociales.
- Accroissement de conflit marital et domestique et de la crise nerveuse due
au déséquilibre émotionnel et cognitif.
- Accroissement de perte d'emploi, de chômage et de perte d'emploi pour raisons médicales.
- Coût des bilans hospitaliers, des consultations et des admissions.
- Effets opposés au cours de la grossesse et chez le nouveau-né.
- Dépendance et abus potentiel thérapeutique et récréatif.
- Coûts des ordonnances médicales.
- Coûts de litige
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Tranquillisants, somnifères et… Alzheimer
Début octobre, le scoop du magazine Sciences et Avenir jette l'effroi
en pointant du doigt une famille d'anxiolytiques et de somnifères,
les benzodiazépines, comme responsable de la survenue chaque |
année de 16 000 à 31 000 nouveaux cas d'Alzheimer en France. Doit-on alors envisager
une interdiction des benzodiazépines ? s’interroge la Cité des Sciences et de l'Industrie
dans un communiqué… (27 octobre 2011) |
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L'abus de tranquillisants et somnifères augmenterait le risque d'Alzheimer - Le risque dû à la prise prolongée de benzodiazépines
serait majoré de 20 à 50%, selon une étude française. Le responsable de l’étude,
à paraître dans une revue scientifique, le Pr Bernard Bégaud, pharmaco épidémiologiste (Inserm/université de Bordeaux), estime que
« cette affaire est une vraie bombe ». |
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Extrait : "Chaque année 16 000 à 31 000 cas d'Alzheimer en France seraient attribuables
à ces médicaments de la classe des benzodiazépines ou apparentés et leurs génériques :
Valium (diazépam), Témesta (ou Ativan, lorazépam), Xanax (alprazolam), Lexomil (bromazépam), STILNOX (ou Ambien, zolpidem), Mogadon (nitrazépam), Tranxène (clorazépate dipotassique)
et autres." LIRE LA SUITE |
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28-09-11 - "Un signal d'alerte très fort" - L'étude a porté sur 3.777 sujets de 65 ans et plus
qui ont pris des BZD pendant deux à plus de dix ans. "Contrairement aux chutes et fractures occasionnés par ces traitements, les effets cérébraux ne sont pas immédiatement perceptibles, mais il faut attendre quelques années", relève le chercheur. |
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Sans entrer dans la confidentialité des données que l’ AFSSAPS se garde bien de rendre publiques, comparons ce qui est comparable et examinons le sort de 2 somnifères produits par le même fabricant : Mépronizine, retiré du marché pour les raisons susdites, et STILNOX, qui a été et reste un blockbuster pour Sanofi.
Il suffit, de toute façon, de se reporter à Pubmed pour constater que
les effets indésirables rapportés avec STILNOX concernent tout particulièrement les phénomènes paradoxaux (irritabilité, agressivité, etc.), les réactions de somnanbulisme, la dépendance et... les chutes. Un autre risque de STILNOX est moins connu : celui qui concerne le foie. |
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26 novembre 2011
"Les symptômes apparaissant après une utilisation prolongée des benzodiazépines comprennent (a) liés à la dose extensions des actions initiales pharmacologiques, et (b) les symptômes de sevrage résultant du développement de la tolérance et la dépendance aux drogues." [P. 440] 440]
" Chronic benzodiazepine usage can cause both depression and "emotional anaesthesia", an apathetic state with dulling of all emotions. In patients with depressive illness, benzodiazepines can aggravate the depression and provoke suicide.
"Chronique d'utilisation des benzodiazépines peuvent causer la dépression et « émotionnelle anesthésie », un état apathique avec ternissement de toutes les émotions. Chez les patients
ayant une maladie dépressive, les benzodiazépines peuvent aggraver la dépression et le suicide provoquer.
On the other hand, some individuals experience euphoria, and benzodiazepines have abuse liability when used intravenously. D'autre part, certains l'euphorie d'expérience des individus, et les benzodiazépines ont la responsabilité d'abus quand il est utilisé par voie intraveineuse.
Occasionally, benzodiazepines produce apparently paradoxical stimulant effects.
Parfois, les benzodiazépines produisent des effets stimulants apparemment paradoxale. (---) Patients on low chronic doses of benzodiazepines sometimes commit uncharacteristic antisocial acts such as shoplifting or sexual offences, while higher doses may produce outbursts of rage and violent behaviour, especially in anxious patients.
Les patients à faible (---) doses chroniques de benzodiazépines commettent parfois des actes antisociaux atypiques tels que vol à l'étalage ou de délits sexuels, tandis que des doses plus élevées peuvent produire des explosions de colère et des comportements violents, en particulier chez les patients anxieux.
Chronic benzodiazepine use has been suggested to be a contributory cause of "baby- battering" and "grandma-bashing"; these paradoxical effects have been attributed to disinhibition of behaviour previously suppressed by social restraints, fear, or anxiety, a nd are most likely to occur in aggressive or anxious individuals.
L'utilisation chronique de benzodiazépines a été suggéré comme une cause contributive du «baby-coups" et "mamie-bashing»; ces effets paradoxaux ont été attribués à la désinhibition des comportements déjà réprimés par des contraintes sociales, la peur ou l'anxiété, un e sont les plus susceptibles de se produire chez les individus agressifs ou anxieux. " [p. 441] »[
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Dernière
mise à jour
lundi 29.01.2018 17:26
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