| |
|
|
| |
|
|
| |
|
Le
souvenir immémorial qui veille à la limite
du cerveau incite à concevoir une autre forme d’existence.
Pourquoi se complaire et se contenter d’ici-bas ? Découvrir
par soi-même la réalité de l’au-delà...
Sans réfléchir trop longtemps, concevoir
la vie
au coeur même de la vie.
Je
me souviens de ce qui parfois me trouble, l’angoisse de
certaines journées passées à scruter
le ciel me revient par vague. Pour l’être humain,
le sentiment
de bien-être sur la terre sans la compréhension
de l’au-delà est factice. |
|
Depuis
mes dernières réflexions au sujet de la
vie et de la mort, il est entré en moi comme une souveraine indépendance par rapport à cela.
Je suppose que cet état doive durer indéfiniment...
Autour
de moi, je vois quantité de gens ignorants et aveugles,
exclusivement soumis aux fluctuations de leur passé,
de leur quotidien et de leur devenir.
Le soleil, la lune et les étoiles ne brillent pas
pour tout le monde... C’en est à pleurer ! |
|
| |
| |
|
©
Silviane Le Menn
Paris,
le 17 septembre 1984 |
|
| |
| |
| |
| |
| |
C'EST
DINGUE, NON ! |
 |
Sleon
une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde,
l'odrre des ltteers dnas un mto n'a pas d'ipmrotncae,
la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et
la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete
peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos
puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C'est prace
que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe,
mias le mot cmome un tuot. Impressionnant, non ?
(Texte anonyme) |
|
|
| |
| |
| |
| |
|
Dernière
mise à jour
lundi 29.01.2018 16:45
|
| |
|
